Voir etat apache :
systemctl status apache2.service
Avoir la version d'apache (peu nécessité sudo): apachectl -V
Voir etat apache :
systemctl status apache2.service
Avoir la version d'apache (peu nécessité sudo): apachectl -V
Il est possible directement depuis github de recuperer un patch depuis un commit. Il suffit de cliquer que le commit en question et d'ajouter .patch à l'url, fort pratique.
dans le repertoire qui va bien =>
git apply --stat a_file.patch
Etherpad est un système de traitement de texte en ligne collaboratif. Il permet de rédigé des documents à plusieurs en temps réel, du moment que la mise en page reste legere. Il est OpenSource, écrit en NodeJS et extensible avec des plugins de la communauté.
Il est possible de l'installer sur 2 types de serveur, Windows ou Linux.
Logiciel prérequis :
Il faut ensuite télécharger les sources disponible sur mon repo github. ou sur l'officiel.
Il y a un bug sur la release officielle avec le fichier de compilation windows. Il n'arrive pas a compilé, une pull request est en cours.
Pour une installation Windows:
il suffit de lancer le fichier installOnWindows.bat qui se trouve dans le répertoire bin.
Une fois l'installation faite il ne reste plus qu'a lancer le start.bat
Attention tout de même, il y a un peu de paramétrage à faire. Par défaut, il utilise dirtyBD qui n'est pas une vrai BDD à l'instar de SQLite. Toutes les données sont stockées dans un fichier. Les performances et la stabilité du système ne sont pas assurés, mais ça permet de faire des test facilement sans trop altérer l’environnement.
De même pour les utilisateurs, il est possible de définir des administrateurs des utilisateurs lamdba pour gérer les accés au pad.
Pour une installation Linux:
TODO
Fonctionnalité supplémentaire(Plugin):
Il existe une multitude de plugins plus ou moins stable pour etherpad, il est possible de directement les installer depuis l'interface admin, depuis l'adresse : serverIP/admin/plugins.
Voici une petite liste de plugin pratique:
Il faut suivre quelques étapes simple mais qui peuvent poser un peu probleme si on est pas trop familier avec l'informatique. Déjà il faut acheter les différentes pieces.
Il est toujours possible, suivant le projet final(console retro, mamecab) d'acheter certains accessoires supplémentaires comme un boitier en plastique pour protéger la bête, un système de refroidissement (radiateur, ventillo), etc. Il existe pas mal de kit raspberry le seul probleme c'est que souvent la carte fourni est de failble capacité (8Go) toujours suivant le projet, ça peut être court (600Mo pour un jeu Playstation, ~1Go pour la DreamCast), je vous laisse seul juge.
Ensuite une fois assemblé, il faut passer à la partie logiciel. L'installation est simple mais la partie formatage peut poser problème.
L'installation se fait de maniere automatique, l'installateur repartionne la carte comme il faut.
– « ACCESS_PRIVATE« (value: 0) Privé.
– « ACCESS_LOGGED_IN« (value: 1) Utilisateur logué.
– « ACCESS_PUBLIC« (value: 2) Public.
– « ACCESS_FRIENDS« (value: -2) Le propriétaire et ses contacts.
– (value: 4)
$access_id = elgg_extract('access_id', $vars, ACCESS_DEFAULT);
script pour la verification du champs nom
empeche l'insertion de caractere autre que alphanumérique
$view = '<script type="text/javascript"> function verif(evt) { var keyCode = evt.which ? evt.which : evt.keyCode; var accept = "abcdefghijklmnopqrstuvwxyzABCDEFGHIJKLMNOPQRSTUVWXYZ0123456789"; if (accept.indexOf(String.fromCharCode(keyCode)) >= 0) { return true; } else { return false; } } </script>';
Par défaut Prestashop va recuperer des infos sur le site des addons officiels, ce qui à pour effet de méchament ralentir la navigation, c'est encore pire quand ont est en local sur une machine de dev avec une connexion internet poussive(ce qui est mon cas). Il faut quand même faire attention car les module qui pourrait vous servir ne vont plus apparaitre.
Pour ça il faut aller modifier 2 fichiers. Le premier est classes/tools.php. Il faut modifier la methode addonsRequest() et rajouter un return false; des le début de la methode. comme ça plus requete vers le serveur addons.
Pour le second, qui concerne les themes, il faut le chercher dans controllers/admin/AdminThemeControllers.php.
Dedans cherche la methode ajaxProcessGetAddonsThemes(), et appeler la fonction die() des le debut. C'est tout.
Après cela ne fait pas de miracle, mais on gagne un peu. Voili Voilou.
[WIP] Il existe une certaine quantité de variable smarty définit dans Prestashop, Ce post va essayer de les lister et d'expliquer leurs usages.
La liste ne sera evidement pas exaustive, mais sera compléter avec le temps.
$img_ps_dir //URL for the PrestaShop image folder. $img_cat_dir //URL for the categories images folder. $img_lang_dir //URL for the languages images folder. $img_prod_dir //URL for the products images folder. $img_manu_dir //URL for the manufacturers images folder. $img_sup_dir //URL for the suppliers images folder. $img_ship_dir //URL for the carriers (shipping) images folder. $img_dir //URL for the theme’s images folder. $css_dir //URL for the theme’s CSS folder. $js_dir //URL for the theme’s JavaScript folder. $tpl_dir //URL for the current theme’s folder. $modules_dir //URL the modules folder. $mail_dir //URL for the mail templates folder. $pic_dir //URL for the pictures upload folder
Pour aller plus loin, j'ai trouver ce lien qui à l'air d'être pas makl complet sur les variables.
http://blog.gofenice.com/prestashop/global-smarty-variables-used-in-prestashop/
Pour ajouter des champs spécifiques dans un article WordPress, il faut d'abord ajouter à votre theme le fichier functions.php s'il n'est pas existant. Dedans il faut rajouter un hooks:
// nom du hook : "wp_insert_post"
// nom de la fonction à appeler : " champs_defaut"
add_action("wp_insert_post", "champs_defaut");
// prend en parametre l'identifiant du post
function champs_defaut($post_id){
if(get_post_type($post_id)=='post'){
add_post_meta( $post_id, 'prix', '', true ); // ajout du champ 'prix', true => unique
add_post_meta( $post_id, 'editeur', '', true );
add_post_meta( $post_id, 'auteur', '', true );
add_post_meta( $post_id, 'reserve', '', true );
}
return true;
}
Maintenant dans la page d'ajout d'article 4 champs sont apparut dans le backoffice. Les champs n'apparaissent pas dans les articles existants, il y a juste à clique sur le boutons "mettre à jour".
Pour les afficher dans la page single.php, il reste à ajouter ce code:
// get_post_meta retourne la valeur du champs désigné dans les parametres,
// le booleen permet de définir si le retour est sous forme de tableau ou d'un string tout seul
$auteurs = get_post_meta(get_the_id(), 'auteur', false);
$editeur = get_post_meta(get_the_id(), 'editeur', true );
$prix = get_post_meta(get_the_id(), 'prix', true );
$reserve = get_post_meta(get_the_id(), 'reserve', true );
Voili voilou!!!
Il peut être utile de savoir migrer son site, rien que pour le mettre en ligne à la suite d'une période de développement. Pour ce faire:
1/ Placer le dossier qui contient le site wordpress à la racine de votre hébergement.
2/ Si besoin creer une nouvelle base de données, sinon recuperer le nom de la base de données fourni par votre hébergeur.
3/ modifier le fichier wp-config.php.
modifier les constantes :
4/ importer le dump de la BDD
5/ Modifier la table wp_option.
6/ Modifier dans la table wp_post les colonnes:
Utiliser ces requettes SQL pour vous simplifier la vie.
UPDATE wp_posts
SET guid=REPLACE(guid,'http://localhost/ancienne_adresse/wordpress431_1','http://nouvelle_adresse/');
UPDATE wp_posts
SET post_content=
REPLACE(post_content,'http://localhost/ancienne_adresse/wordpress431_1/','http://nouvelle_adresse/');
Normalement ça fonctionne.
En cas de probleme de lien il peut être nécessaire de rafraichir les permaliens.
Allez dans le backoffice/reglages/permaliens.
Passer en mode par defaut, appliquez puis repassez dans le mode qui va bien, dans mon cas c'était nom d'article.
Voili voilou.